Marubeni passe au SEPA avec Exalog
25 juin 2013
Pour sa migration SEPA, Marubeni Europe plc choisit de renouveler sa confiance à l’éditeur Exalog à travers son logiciel Exabanque. Valérie Vanderchruche, comptable chez Marubeni Europe plc, nous explique pourquoi.
Pourriez-vous nous présenter Marubeni Europe plc ?
Marubeni Europe plc est la filiale Européenne du groupe Marubeni Corporation, l’une des plus importantes sociétés de commerce japonaises, ou sogo shosha.
Les activités commerciales du groupe Marubeni à l’échelle internationale portent notamment sur les métaux, les ressources énergétiques, les produits chimiques, l’énergie électrique ou encore les biens de consommation et les textiles.
Avec un chiffre d’affaires de 908M d’euros en 2011, Marubeni Europe plc compte 12 succursales, parmi lesquelles l’entité Parisienne qui s’illustre dans les domaines de la chimie, de l’agroalimentaire et des équipements de transport.
Quelle est votre position au sein de la société ?
Arrivée il y a 25 ans, je suis comptable au bureau de Paris. Pendant une dizaine d’années j’ai été en charge de la trésorerie de notre entité.
Aujourd’hui je ne m’occupe plus des tâches opérationnelles, j’interviens sur les projets d’envergure comme le passage à l’EBICS ou la migration SEPA, en parallèle de mes activités de gestion du personnel.
Comment est organisée la fonction trésorerie dans votre groupe ?
Depuis le début des années 2000, l’ensemble du groupe est équipé de SAP, mais chaque filiale dispose de son propre logiciel de trésorerie. A Paris, nous utilisons la solution Exabanque d’Exalog depuis fin 2007.
Dans quel contexte et selon quels critères avez-vous choisi le logiciel d’Exalog ?
Avant de faire appel à Exalog, nous disposions d’une solution concurrente avec laquelle nous rencontrions des problèmes récurrents, comme la perte de données lors des mises à jour. De plus, nous n’étions pas satisfaits des tarifs de maintenance que nous trouvions trop élevés.
Sur recommandation de l’un de nos partenaires bancaires nous avons rencontré Exalog peu avant l’été 2007. Nous recherchions une solution de trésorerie et de communication bancaire qui soit fiable, alertés par les difficultés de notre logiciel de l’époque. L’aspect financier était également important de même que la disponibilité du prestataire.
La solution Exabanque d’Exalog répondait à nos critères, mais, à l’époque, elle ne disposait pas des fonctionnalités de trésorerie dont nous avions besoin.
Les équipes d’Exalog nous ont alors proposé de travailler de concert afin de faire évoluer le logiciel pour qu’il corresponde à nos attentes. Cette collaboration a été très efficace et dès octobre 2007 nous commencions à travailler sur Exabanque.
Quel bilan pouvez-vous faire de la mise en œuvre d’Exabanque chez Marubeni Europe plc ?
L’écoute et la disponibilité dont a fait preuve Exalog nous ont séduits, au cours de la phase de consultation comme pendant la mise en place du logiciel. Les équipes d’Exalog nous ont accompagnés lors de l’implémentation d’Exabanque, et la migration de nos données sur la nouvelle solution a été très rapide et facile.
Quels sont selon vous les points forts du logiciel Exabanque et de l’éditeur Exalog ?
Un des avantages majeurs d’Exabanque est sa facilité d’utilisation. Son ergonomie est si intuitive qu’un enfant de 12 ans pourrait s’en servir. C’est également un produit fiable, nous n’avons rencontré aucun incident notable depuis que nous l’avons mis en place.
En ce qui concerne Exalog, les raisons de notre choix en 2007 n’ont pas été remises en cause depuis : c’est un prestataire de confiance, très compétent dans son domaine et au service de ses clients. Exalog nous tient toujours au courant des nouvelles fonctionnalités disponibles dans le logiciel, et des actualités du secteur.
Justement, comment avez-vous été informés de la mise en place du SEPA ?
Fin 2007, c’est Exalog qui a été le premier à nous en parler, puis vers mars 2008 nos partenaires bancaires nous ont alertés sur le sujet. Nous avons donc su très tôt que nous devions mettre en place cette nouvelle norme. Cependant, nous ne nous sommes pas immédiatement attelés à ce chantier, inquiétés par son aspect technique.
Notre maison mère au Japon a souhaité que chaque entité du groupe soit en charge de son projet SEPA, et choisisse la solution répondant au mieux à ses besoins spécifiques.
Quelles ont été les principales étapes de votre passage au SEPA ?
Lorsque nous avons décidé de lancer notre projet de migration, nous avons tout d’abord contacté nos banques. Certaines nous ont proposé leur propre solution de virements SEPA.
Comme nous étions satisfaits d’Exabanque et que le logiciel était compatible avec la nouvelle norme, nous n’avons pas donné suite aux sollicitations de nos banques, préférant poursuivre notre collaboration avec notre éditeur. Exalog nous a assistés dans le travail de paramétrage de notre environnement.
Quel bilan pouvez-vous faire de votre migration SEPA ?
Aujourd’hui, nous pouvons réaliser des virements SEPA avec toutes nos banques. Nous ne faisons pas encore de virements de trésorerie car nos partenaires bancaires internationaux, avec qui notre groupe travaille essentiellement, ne sont pas encore prêts.
Une fois engagé, le projet de passage au SEPA s’est déroulé sans problème. Nous avons apprécié l’anticipation dont a fait preuve Exalog en nous proposant un module de conversion de fichiers CFONB vers le SEPA. Les équipes étaient à l’écoute de nos besoins et nous ont apporté l’assistance nécessaire, ce qui était d’autant plus utile qu’il s’agissait d’une problématique technique et que nous ne disposons pas d’un support informatique en interne.
Aux entreprises qui n’ont pas encore engagé leur processus de migration, je conseillerais de se rapprocher de leur éditeur, pour connaître les possibilités de leur logiciel. La conversion de la base de données notamment est un point essentiel du passage au SEPA auquel elles doivent être vigilantes.
Le point de vue d'Exalog
Guillaume Lafarge, Président